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Résumé d'un livre intitulé : Sous le signe du scorpion. Stockholm 1998.
SITE => http://jyrilina.com
Ce texte est la reproduction d'articles parus dans la revue Sous la Bannière,
dont vous trouverez les coordonnées et les dates des parutions à la fin de cet article.
“L ‘empire soviétique fut instauré
à 14 h 04, le 8
novembre 1917, dans la capitale de la Russie, Saint-Pétersbourg. En astrologie,
le soleil était précisément juste au centre du signe du Scorpion. Ainsi, le
Scorpion peut être considéré comme le symbole et le gardien du pouvoir
soviétique . » Mais nos magiciens “athées” et
matérialistes ne s’arrêtent pas en si bon chemin. Trotski (Bronstein) par
exemple avait transféré le pentacle (l’étoile de Kiev) dans l’étoile rouge de la
Tchéka. Il pratiquait les sciences secrètes. Staline, qui avait été initié dans
un monastère tibétain, était un adepte de l’art du Yi-King. Tous les criminels
responsables communistes s’en sont remis à la numérologie kabbalistique pour
mythifier leurs actes et leur conférer une valeur “sacrée”. Quelle explication
pourrait nous en fournir l’adhérent de base de Gardanne ou de Vaulx-en-Velin ‘?
Car la métamorphose des dieux marxistes continue. Ainsi le P.C.F. vient
curieusement, à la veille de l’an 2000, de décréter Jésus-Christ superstar
social de la fête de “l’huma” 1999 ! “Le Monde” écrit à ce propos “Jésus-Christ
sera l’une des vedettes de la prochaine fête de l’Humanité en septembre 1999. A
sa manière, le P.C.F. qui tiendra son trentième congrès en Janvier 2000 va
s’associer à la célébration de ce que Jean-Paul II appelle le Jubilé de l’an
2000, c’est-à-dire l’entrée dans le 3e millénaire du christianisme. Dirigé par
Antoine Casanova, le secrétariat chargé des relations avec les croyants
(tiens, tiens !) lance des invitations !” Décidément, l’an
2000 sera bien totalement “christo-centré” ! Pour en finir avec le chapitre
astrologique Jüri Lina souligne que les Fils du Scorpion seraient caractérisés
par les pires vices. Leur véritable nature est nimbée de mystère. La couleur
(astrologique) du Scorpion est le ... rouge. Sa symbolique : le vautour, le
serpent et le désert ! Dans le règne animal, il est une créature venimeuse,
vivant de préférence dans les ténèbres. Il est réputé pour piquer ceux de son
espèce... qui se mettent en travers de son chemin. Jüri Lina est tenace. Il dit être
remonté des archives soviétiques à celles disponibles dans les principales
capitales d’Europe Centrale relatives à l’origine du complot communiste, ainsi
qu’à son prédécesseur et inspirateur direct, le complot des “Illuminés de
Bavière” du grand frère .. Adam Weishaupt ! Mais avant de remonter le temps,
et de nous pencher sur quelques fragments de la véritable histoire secrète du
communisme, gardons à l’esprit les faits suivants. L’auteur ne s’est pas seulement
appuyé sur les archives secrètes auxquelles il a eu accès. Il nous confirme que
la presse russe (locale, régionale, nationale), la presse spécialisée (revues
géopolitiques etc.) et les médias ont déjà donné communication d’une
partie non négligeable des informations révélées dans son ouvrage ! Il en
résulte qu’aujourd’hui l’environnement culturel du citoyen russe et son niveau
de connaissances historico-politiques, malgré son état de déchéance et de
misère, sont certainement sans rapport avec ceux du citoyen républicain...
français... moyen ! Ces révélations publiques ont
bien pu provoquer, dans ce pays matériellement et spirituellement
ravagé, un traumatisme générateur d’une véritable apocalypse de l’esprit. Jüri
Lina estime qu’un quart des Russes au moins garde un ressentiment profond
vis-à-vis du peuple élu dont certains membres ont pris la tête, propagé et
maintenu cette situation infernale pendant 75 ans. La Russie est une bombe à
retardement terrible pour l’Ordre Mondial Secret, le “Novus Ordo Saeclorum”, et
ce en dépit de sa décomposition avancée. Tout ceci nous est bien évidemment
soigneusement caché ! La menace russe, cette menace contre laquelle Notre Dame
de Fatima nous a mis en garde est donc plus actuelle que jamais. Elle a
simplement subi une métamorphose formelle. Ainsi, nous pourrions bien nous trouver
confrontés un jour au déferlement de blindés noirs prétendument panslaves ou
paneuropéens, “antidémocratiques”, le tout sur fond de croisade
social-nationaliste.
Des Illuminati... à
l’Internationale communiste.
Notre journaliste suédois, lors de ses
recherches, a constamment recoupé l’ordre des Illuminés de Bavière. Les
origines, les méthodes, la finalité, la soumission aux sciences kabbalistiques,
tout plaide en faveur d’une filiation directe dans le plan de mise en oeuvre de
la cité des Illuminés par le régime soviétique. Cette Continuité prouve bien que
l’Ordre des Illuminés de Bavière dérive, par la Rose+Croix templière, du serment
rabbinique dit du Temple de Jérusalem, proféré en 70 après Jésus-Christ
à l’occasion de la destruction de la ville. Ce serment est constitutif de la
Synagogue de Satan unissant tous les successeurs de Caïphe dans une
conjuration antichrétienne qui doit culminer dans l’avènement et la
défaite de l’Antéchrist. C’est bien ce que suggère
indirectement notre auteur (dont nous rappellerons qu’il n’est pas croyant)
lorsqu’il fait remonter l ‘Ordre des Illuminés aux cercles des Alumbrados
fondés en 1492, à l’occasion de l’expulsion des Juifs de la catholique Espagne.
Ces Alumbrados (illuminés) seraient des Juifs marranes (baptisés pour la
circonstance mais conservant leur foi talmudique). Fidel Castro serait issu
d’une famille d’Alumbrado initié, d’où ses bonnes relations avec Tatie
Mitterrand, entre autres ! Adam Weishaupt (tête sage !) juif
d’origine, aurait été lui-même initié à 23 ans à l’ordre ultra secret des
Alumbrados et à la kabbale.., par un kabbaliste, Kolner, adonné au rite
d’Osiris Notre grand “sage” choisit donc
pour son ordre le symbole de la pyramide et fixa pour date de fondation le
1er mai, correspondant au jour sacré de Yahvé (5+1=6). Selon Gœthe, Rose+Croix
lui-même, le 1er mai, succédant à la nuit de Walpurgis du 30 avril (jour du
suicide d’A. Hitler !) serait celui de la célébration des forces mystiques
obscures ! Jüri Lina nous apprend également
que c’est Amschel Mayer, du ghetto de Francfort, fondateur de la dynastie des
Rothschild, qui confia au “super doué” Weishaupt le soin de réactiver l’ordre
des Alumbrados. Il nous confirme par-là le rôle
et la finalité dévolus à cet ordre introduire la gnose kabbalistique et
“messianiser” l’ensemble des franc-maçonneries européennes. En effet, une
partie non négligeable de la Franc-Maçonnerie, coiffée par une aristocratie
plutôt élitiste et frivole - pensons au cardinal de Rohan ainsi qu’à d’autres
têtes poudrées et légères du même acabit - avait certainement tendance
à conférer à leur loge les caractéristiques de clubs anglais. Ainsi, à la
cour de Versailles, Marie-Antoinette en tête, traversait régulièrement
en carrosse les bois de Versailles et Marly pour venir se faire initier dans le
domaine de Monsieur de Monville, la folie de Retz. Là, passant de “l‘ombre à la
lumière”, la cour vivait des heures exquises entre les concerts, les feux
d’artifices, quelques tours de prestidigitation, voire de sorcellerie,
certes plus ou moins inquiétants, de ce bon philanthrope aux enseignements aussi
insolites que divertissants. Fini de rire ! avec Weishaupt, Amschel Mayer et
consorts, la coagulation des maçonneries “élitistes” allait provoquer une
fracture ouverte. En 10 ans (1775-1785) la révolution et l’épuration des
loges européennes seraient accomplies. Il en serait de même des loges
américaines grâce à la famille du banquier Samuel Moses Warburg. Le cercle
rouge de la kabbale se referma alors sur l’Europe chrétienne. En effet, nous
confirme Jüri Lina, le contrôle des maçonneries fut solennellement scellé
au château de Wilhelmsbad (relire le Balsamo d’A. Dumas), château propriété
de... Mayer Amschel Rothschild, le 16 juillet 1782. C’est à cette occasion que
la Révolution décida la mort de Louis XVI et de Gustave de Suède. La
tête de l’empereur Léopold d’Autriche fut également mise à prix. Ces trois
assassinats furent exécutés. Un comité secret de la Ré-volution fut par la même
occasion constitué. On y retrouve un certain nombre des futurs “vedettes”
politiques de cette période, notamment Talleyrand, Mirabeau côtoyant des
magiciens ou philosophes Mesmer, Cagliostro, Lavater, L.C. de St Martin etc.,.
Quant aux invisibles, ils entourèrent notre Weishaupt tout au long de sa
carrière, tels Moses Mendelssohn, successeur de Rômer en science de la Kabbale,
parmi d'autres. Gœthe resté probablement suspendu
entre les invisibles qu’il pressentait et la Rose+Croix dans sa partie céleste,
voyait approcher l’orage avec une certaine appréhension, d’autant que le
caractère maçonnique de l’assassinat du poète Schiller n’avait pu lui
échapper ! Voilà ce qu’il écrivit à un ami à propos de l’ordre des
Illuminati : “Notre monde moral est sapé par des tunnels, des caves et
des égouts , bien que chacun affecte de ne jamais faire allusion à ces réseaux
souterrains. Pour ma part, comme pour tout illuminé, je comprends que de la
fumée puisse jaillir parfois d’une fissure ou que d’étranges voix remontent des
entrailles de la terre” ! Avant de quitter notre collège des Illuminés,
rappelons les points fondamentaux de son programme, en tout domaine
conforme à celui des soviets communistes. 1) Suppression de toute religion,
y compris toutes communautés et doctrines qui ne pourraient servir d’outils pour
l’ordre. 2) Suppression de tous sentiments
de patrie et nationalité. Abolition des nations. Création d’un État Mondial
Illuminé. 3) Transfert successif de tout le
patrimoine privé et public entre les mains des Illuminati (tâche qui devait être
confiée à une administration spécialisée chargée d’instaurer un impôt sur
le revenu progressivement alourdi et des impôts sur les successions à caractère
confiscatoire. Nos ENA ne devraient-ils pas ériger une statue à leur grand
ancêtre visionnaire sur le sommet du bunker de Bercy ?) Instauration d’un système de
délation et d’espionnage dont les “frères insinuateurs” ont constitué
l’archétype et le prototype. La symbolique de ce système était l’oeil omniscient
du sommet de la pyramide.
Un code moral global, standardisation de la volonté, des souhaits et des
aspirations du peuple, le tout subordonné en fait à une seule volonté :
celle des illuminés. A la fin du XVIIIe siècle, la
première révolution des illuminati avait secoué toute la planète. L’action
des frères redevint secrète mais, selon Jüri Lina, elle se poursuit dans le
cadre du même plan jusqu’à l’explosion de la révolution d’octobre
1917. Ainsi notre journaliste prétend
que les illuminati ont oeuvré pour que les U.S.A. s’inspirent du système
bancaire des pays européens et confient l’émission et la circulation de leur
monnaie à des organismes privés afin d’endetter l’État à des taux d’intérêt non
maîtrisables ! Lincoln aurait refusé de confier les rênes de l’économie
américaine aux Rothschild. Il aurait donc été assassiné, une fois la victoire
sur les sudistes acquise, par un Illuminati juif - J.W. Booth, manipulé lui-même
par un agent du clan Rothschild, J.P. Benjamin. A la même date, Albert Pike
achevait l’infiltration de toutes les loges américaines et implantait son
organisation secrète à Charleston, aujourd’hui toujours, capitale initiatique
des États-Unis, et y introduisait les rites sataniques. Le général assassin
pendant la guerre de sécession, massacreur de sudistes et de noirs, fondateur
et infiltrateur du Ku-Klux-Klan, le général Pike trône aujourd’hui aux U.S.A. où
les “frères” lui ont érigé une magnifique statue au centre de Washington. La
plaque insérée dans la statue présente le “brave” général comme un “soldat” et
un “poète” Inutile de préciser
qu’aujourd’hui les Illuminati successeurs des marranes Alumbrados,
contrôlent depuis le Bnaï Brith et l’alliance Israélite Universelle au
“Lions” et au “Rotary Club”, (le Rotary fut fondé par P. Harris, membre du Bnaï
Brith, à Chicago en 1905) en passant par les groupes internationaux les
plus discrets. Avant d’en venir à la deuxième
révolution des Illuminati, celle de 1917, entièrement placée sous le signe du
Scorpion, comme nous allons le voir, attachons-nous à ses inspirateurs
ésotériques et ses préparateurs exotériques. Là encore, quelques surprises nous
attendent. Karl Marx, pour commencer, lequel
se tourna vers Satan dès l’adolescence.
Karl Marx avait un guide secret qui l’enseignait, Moïse Hess,
un des inspirateurs de Théodore Herzl. C’est lui qui lui présenta F. Engels,
lequel avait aussi professé le catholicisme dans sa jeunesse. F. Engels
perdit aussi la foi sous l’influence de Moïse Hess, par ailleurs auteur d’un
“catéchisme rouge pour le peuple allemand”. Le second guide secret de K.
Marx fut Levi Baruch, talmudiste qui lui révéla que la Ré-volution devait
viser à concentrer le capital et la propriété entre les mains des
kabbalistes par le truchement du prolétariat. Le peuple slave lui semblait le
meilleur “égout ethnique” pour une telle expérience. L’affiliation de Marx
et Engels à l’ordre des Illuminati est liée à cette double conviction. Marx
fut missionné pour écrire le manifeste du Parti Communiste qui n’était
que le nouveau nom de code du programme des Illuminés. Un convent maçonnique fut
organisé à Strasbourg pour lancer les Révolutions européennes de 1848.
Parmi les délégués on trouve Alphonse Lamartine, illuminé, futur ministre
des affaires étrangères, Crémieux, Léon Gambetta, Simon et Louis Blanc délégués
pour la France. Le grand jour révolutionnaire
était fixé au 18 mars dans les pays nordiques parce que cette date était la date
commémorative de l’exécution par le bûcher du grand maître des chevaliers du
Temple, Jacques de Molay. (C’est également un 18 mars que fut proclamée la
Commune de Paris !). Voilà comment Lord Disraëli jugea cette période de
grand trouble. “Lorsque les sociétés secrètes surprirent l’Europe
en février 1848, elles furent elles-mêmes surprises par cette occasion qui
s’ouvrait. Elles furent d’autant moins à même de saisir cette opportunité que
sans les juifs, qui de longue date étaient malheureusement reliés à ces
associations profanes, si stupides que soient les gouvernements, cette explosion
gratuite n'aurait pas réussi à ravager l’Europe “. Le souci du Mythe et du symbole
était si poussé chez les illuminés qu’ils choisirent le 1er mai pour
la fête des travailleurs, jour de la révolution permanente succédant à la
Nuit de Walpurgis. Pour “sacraliser” cette date, une émeute fut organisée à
Chicago en 1886, le 1er mai, 110e anniversaire de la fondation des
Illuminati. “Malheureusement”, la police ne réagit que le 3 mai lorsqu’un
groupe de “travailleurs” attaqua quelques briseurs de grève. Il y eut quatre
morts. “Martyrs”... censés être disparus depuis 3 jours ! L’instigateur de
l’opération, l’illuminé millionnaire Samuel Gourperg, président des
Trade-Unions arrangea l’affaire. Venons-en à Lénine (alias
Vladimir Ulyanov) dont, pour des raisons astrologiques, on ne connaîtrait
pas encore aujourd’hui la véritable date de naissance Jüri Lina nous affirme
que les recherches discrètes continueraient sur ce sujet en 1998, ce qui en
dit long sur le contexte actuel dans lequel vit la Russie. Il parlait
l’allemand, langue qu’il héritait de sa famille son vocabulaire russe était
limité et sa prononciation défectueuse. Sa connaissance de la littérature
russe était plus que déficiente. La mythologie entourant Lénine
est la mieux défendue et préservée auprès de l’opinion russe elle-même. Il
importe pour la Ré-volution de faire de lui un visionnaire dépassant l’horizon
et la dialectique marxiste, probablement afin de faciliter le transfert du
flambeau de la gnose à un prince messianique “rouge-brun” quelconque... Toujours
est-il que son affiliation à la Maçonnerie - notamment l’ordre des
Illuminati et celui du Bnaï Brith -fut précoce. Lénine avait pour mission de
faire du prolétariat, pour le compte des loges, l’outil de la Révolution
permanente. Tous les grands révolutionnaires russes furent, du reste, des
agents de la maçonnerie Lénine, Trotsky (Bronstein), Zinoviev
(Radomyslsky), Kamenev (Rosenfeld), Radek (Sobelshon), Litvinov (Wallakh),
Sverdlov (Solo-mon), Martov (Zederbaum) et Maxim Gorky (Peshkov) entre
autres. Les premières loges furent
fondées en Russie en 1730. Catherine I interdit les organisations maçonniques en
1792. Alexandre I, lui-même tenté par l’occultisme, les réintroduit en 1801
mais, conscient du danger, les interdit à nouveau en 1822. Cette décision lui
coûta la vie. Elle conduisit la franc-maçonnerie russe à se durcir et à se
transformer en un mouvement terroriste clandestin d’une part, et à se
tourner vers les thèmes cosmopolites et judéo-kabbalistiques d’autre part.
Ce sont les leaders de ces loges terroristes, notamment Léon Deutsch et
Alexandre Parvus, qui inspirèrent Lénine et Trotsky, secrètement d’abord puis
moins discrètement à partir de la révolution de 1905. Venons en maintenant à la plus
gigantesque imposture d’ordre magique (cosmogonique et astrologique) et
méta-politique de la première moitié du XXe siècle, la pseudo prise de pouvoir par
les soviets, le 8 décembre 1917.
En route vers l’âge
d’or
Inutile de présenter les grands
acteurs du soi-disant coup d’Etat du 8 novembre 1917, notamment Lénine et
Trotsky. Ces deux grands amis de l’homme et du prolétariat ont toujours
veillé jalousement à leur santé et à leur indépendance financière, comme il sied
à de dignes représentants du peuple soucieux à juste titre de leur pérennité et
de leur valeur personnelles. Lénine, au cours de sa carrière révolutionnaire,
affectionnait les stations thermales, notamment suisses, et leurs grands
hôtels de luxe. C’est ainsi que, en marge des orgies et des actions terroristes
qui l’occupaient ainsi que sa bande de malfrats, il avait fini par prendre goût
à l’eau minérale ! Lors de son séjour en prison à Saint-Pétersbourg en 1895 et
1896, il avait coutume de faire venir ses repas d’un restaurant voisin et
de se procurer, auprès d’une pharmacie locale, son eau minérale préférée ! Sa
fortune personnelle était encore modeste ; quelques pauvres millions de francs
suisses... de l’époque qu’il arrondit rapidement en la portant à quelques
centaines de millions en 1918 ! La cruauté de ce médiocre
paranoïaque était, on le sait, indépassable. Son déséquilibre interne était
propice à la génération de phénomènes insolites variés, à la limite parfois du
paranormal. Ainsi, lorsqu’il mourut le 21janvier 1924, sa température s’éleva
brutalement à ... 42,30, le thermomètre allait brutalement éclater Les archives
soviétiques ont livré quelques éléments restés encore secrets sur les
particularités et les dysfonctionnements physiologiques du personnage.
Ainsi par exemple, pendant quelques décennies, les élèves de philo français ont
appris que Lénine avait un cerveau extraordinairement volumineux qui aurait
expliqué les capacités hors du commun du personnage ! On établissait une
comparaison avec un autre “génie”, Anatole France, dont le cerveau aurait été au
contraire anormalement très peu volumineux. Mensonge et propagande
bolcheviques En réalité, un des hémisphères du cerveau de Lénine était en
dysfonctionnement depuis sa naissance. L’autre hémisphère était comprimé par une
couche épaisse de calcium. Les spécialistes russes, sidérés, n’avaient,
paraît-il, jamais rencontré un tel cas ! Comment un tel monstre avait pu
survivre avec un hémisphère gauche ridé, abîmé, retreci... attaqué par la
syphilis ? Un comble le jeune frère de Lénine était également un
taré ! Commissaire politique en Crimée
dans les années 20, il devint un criminel infâme. Mais le plus illuminé de la
Synagogue de Satan fut certainement Leiba Bronstein, alias Trotski. Originaire
d’Odessa dont 40 % de la population était juive, il fit ses études secondaires
dans un des nombreux lycées juifs où les cours étaient dispensés en hébreu.
Il étudia le Talmud avant d’être initié aux sciences secrètes à Vienne par un
certain Victor Adler. Mais son véritable gourou, celui qui fit de lui un
monstre, fut Israel Helphand. Sataniste, milliardaire, trafiquant d’armes
et de valeurs, il se faisait appeler Alexandre “Parvus” (Alexandre le
petit... tout un programme !). Il propulsa Trotski au sommet des Illuminatis.
Parvus était en relation avec le banquier Jacob Schiff, président de la banque
Kahn et Geb, favori des frères Rothschild, qui assura la logistique... et un
début de fortune conséquente à Leiba Bronstein. C’est Trotski qui fit du
pentagramme l’emblème de l’Armée Rouge. On sait que la Kabbale du Temple de
Jérusalem avait emprunté ce symbole de magie noire aux sorciers de
Chaldée ! Trotski voulait faire de la planète un état mondial judaïsé,
une démocratie universelle sous obédience juive. Très simplificateur de nature,
il considérait que le monde était un Far-West destiné à être placé sous contrôle
de cette nouvelle Mafia. Il était devenu si “doué” en Art Royal qu’il pût
accéder à la loge ultra-secrète et “Select”, The Schriner Lodge, sorte de Graal
réservée aux 32° degrés et aux “Supérieurs Inconnus”. On pense qu’il y
côtoya d’éminents “happy fews”, tels F.D. Roosevelt, Kerensky, Bela Kum
etc... Ironie de l’histoire !
C’est Trotski, influencé par Parvus, qui fit opter pour la Russie comme
premier test du communisme. Son compère Lénine aurait préféré... la Suisse
et ses villes thermales... à moins que le charme de Genève et des magasins
Davidoff... aient orienté son choix
préférentiellement ! Mais quittons ces affaires de
famille.., ou de tribu.., et revenons aux années 1900. Alexandre Parvus joua
donc un rôle déterminant dans le financement de la flotte de guerre japonaise et
l’étranglement économique de la Russie, ce qui conduisit à la défaite de la
marine russe en 1905 et aux émeutes qui s’ensuivirent, notamment à Odessa où le
Bnaï Brith joua un rôle actif.
1905 vit le déclenchement
d’une grande vague de terrorisme, visant essentiellement la famille impériale,
(assassinat de l’oncle du Tsar, du grand duc Serge Romanov) et les grandes
institutions armée (Potemkine. Cronstadt), Police etc. Jacob Schiff était
présent partout. Il assista à la signature du Traité de paix
russo-japonais de Portsmouth dont il dicta les conditions. Il favorisa
l’implantation de l’ordre des Bnaï Brith à partir de l’Allemagne. A
ce propos, il n’est pas sans intérêt de rappeler que l’ordre des Bnaï Brith
qui comptait 103 loges en Allemagne en 1932... continua à opérer sous le
III° Reich, en toute impunité... Certaines loges Bnaï Brith mises en place par
J. Schiff se transformèrent rapidement en Kahal puis donnèrent naissance à la
7° loge "soviet". On n’arrête pas le progrès. Ce soviet
animé par Peter Khrustalya (Georges Nosar) drivé par Trotski et Parvus,
n’avait aucun membre représentatif de la classe ouvrière ou paysanne mais était
constitué uniquement de conspirateurs et francs-maçons, comme il se doit.
Les soviets connurent une courte carrière. Ils furent interdits dès la fin de
1905. Comme souvent, les petits payèrent l’addition laissée par leurs grands
frères et leurs hommes de main. Les ghettos furent pillés. 810 juifs furent
lynchés. Il fallut la poigne et l’autorité naturelle de Stolypine - nommé
premier ministre en 1906 -pour arrêter la colère populaire. La plate-forme
révolutionnaire fut démantelée. 35000 révolutionnaires s’enfuirent, en
Palestine essentiellement où ils constituèrent en fait la première colonie de
repeuplement du futur état d’Israël. Connaissant parfaitement l’origine et les
finalités du complot, Stolypine désamorça la conjuration en quelques mois. Le
véritable âge d’or de la Russie était-il devant ou derrière ? Les belles années
1907-1914 auraient pu accréditer l’hypothèse que l’âge d’or était pour demain.
Ce fut en effet la période la plus prospère, la plus juste et la plus sereine
que la Russie ait jamais connue. Sous l’impulsion du 1° ministre, l’oeuvre de
rénovation entreprise fut spectaculaire. Elle s’étendit à toutes les
composantes de la société. Les trois-quarts des terres agricoles
furent redistribuées aux paysans. Les forces maçonniques voyaient avec terreur
la victoire leur échapper ! Pour autant, d’après les archives soviétiques,
les juifs tenaient 87% des postes-clés de la Russie en 1914, alors qu’ils ne
représentaient que 4,2 % de la population. Stolypine prodiguait tous ses efforts
pour soustraire l’élite juive au terrorisme intellectuel de la kabbale et à
l’influence de la Haute Finance Internationale qui était d’autant plus déchaînée
contre la Russie qu’elle était devenue en quelques années le grenier à blé
du monde, bloquant ainsi le monopole alimentaire que les Etats-Unis entendaient
assumer (déjà !). Le destin frappa en 1911.
Stolypine fut assassiné cette année par un étudiant juif, Mikhail
Bogrov, social-révolutionnaire et fils de riches propriétaires Deux
mois après cet assassinat, le président des Etats-Unis, W.H. Taft, marionnette
entre les mains des Bnaï Brith, résilia le traité commercial russo-américain
inaugurant une série de sérieux revers internationaux pour l’empire russe.
Sentant le terrain de nouveau favorable, Jacob Schiff, appuyé par les illuminés
d’Amérique, dont le futur faux “colonel” E. Mandel-House, décida de préparer le
renversement du Tsar et de lui substituer un gouvernement maçonnique. Leur choix
se porta sur Kerenski. L’objectif restait le communisme et la mise en place de
Trotski. C’est pourquoi “on” délivra à ce dernier, réfugié aux Etats-Unis, un
passeport de citoyen américain afin de lui permettre de retourner en Russie sans
encombre dès que l’implantation du gouvernement Kerensky
l’autoriserait. Franchissons quelques années.
Privée de son énergique premier ministre, la Russie impériale décadente court à
la catastrophe : on sait l’importante part de responsabilité que l’Etat Major
Russe, belliqueux et arrogant, assuma en juillet 1914 dans la déclaration de la
guerre. Début 1916, la Haute Finance internationale décida de passer à l’acte.
Sans vergogne, elle adresse au gouvernement russe un ultimatum lui enjoignant de
laisser les mouvements révolutionnaires agir à leur guise. L’élite
non révolutionnaire était par ailleurs “invitée” à se rapprocher des
social-révolutionnaires. La Haute-Finance s’attaquait ouvertement, sans
prendre de gants, à l’œuvre de Stolypine ! Simultanément le bloc
anglo-saxon suspendit les facultés de crédits internationaux dont disposait la
Russie auprès de son système bancaire. Aucune nation européenne n’étant, du fait
de l’effort de guerre, en mesure de soutenir le rouble, le pays s’effondra
littéralement en quelques mois. La franc-maçonnerie invisible, celle qui n’a que
mépris pour les bas grades rationalistes, fixa “religieusement” le jour de la
prise du pouvoir en le calant sur l’anniversaire de la fête du “Yankee Pour”,
commémoration du massacre des juifs par les Perses ! Le 27 février 1917 donc, la
Révolution, partie de Saint-Pétersbourg, se généralisa rapidement et
aboutit à l’abdication du Tsar. Comme par hasard ce serait un
certain Aifred Mimer, responsable de la plus hermétique loge de Londres, qui
aurait recueilli le premier la démission du Tsar après l’avoir “convaincu”
d’abdiquer ! Cette loge secrète, “la Table-Ronde” -fondée par la famille
Rothschild - aurait oeuvré également pour provoquer la 2e guerre
mondiale ! Dès l’abdication du Tsar et comme
prévu, le pouvoir fut assumé par le 33e degré Kerensky, assisté par le frère
Crane , citoyen américain, et le banquier activiste sioniste G. Berenson. Le
G... O... de France, plaque tournante et commettant de
l’attentat de Sarajevo aurait joué dans l’histoire un rôle important. La
défaillance tsariste s’expliquerait en grande partie par celle de l’armée
impériale russe, infestée de loges militaires selon un schéma copié sur celui de
l’armée napoléonienne ! Pas un seul régiment, même celui chargé de la
protection du Tsar, le fameux régiment de la garde blanche, qui ne fut infecté !
La preuve c’est le général Kornilov lui-même, futur vaillant responsable en
chef des armées blanches contre-révolutionnaires - qui fut chargé en 1918
d’arrêter le Tsar.., et sa famille, obéissant à un ordre exprès de sa loge !
Kornilov comprit.., trop tard ! Les onze ministres de Kerensky
étaient... francs-maçons. Les postes-clés étaient entre les mains
d’illuminatis, notamment l’intérieur (Rutenberg). Tous les criminels
emprisonnés - des dizaines de milliers d’individus - furent relâchés, afin
de propager l’anarchie et de terroriser la population. La police fut
neutralisée. Des officiers furent assassinés à Kronstadt, à commencer par
l’amiral de la flotte russe. L’hymne national fut remplacé par un chant
maçonnique “Gloire à Dieu à Sion” ! Les soviets (Kahal) de 1905 furent
rétablis. Kerensky était du reste un “membre” du “Conseil des travailleurs”
de Saint-Pétersbourg, dont l’organisation avait été fidèlement copiée sur
le Kahal de New-York ! Venons en au rapatriement des
deux vedettes de la Révolution, Lénine et Trotski. L’opération avait été
orchestrée par le ministre Bethmann Hollweg, issu d’une riche famille de
banquier de Francfort et par son secrétaire d’Etat, le frère Arthur Zimrnermann,
en liaison avec... Parvus et un certain Jacob Fiirstenberg-Hanecki (Garrotsky).
Le fameux wagon transportant les 33 révolutionnaires.., n’a jamais été plombé
que pour les besoins de la propagande et de la légende ! Guillaume II
ne fut mis au courant de cette soi-disant initiative de son Etat-Major que
lorsque ce petit monde était déjà arrivé à Saint-Pétersbourg. Il est vrai qu’à
la lueur des archives historiques récemment “revisitées” et des témoignages
de ses proches, on peut se demander si Guillaume II, homme au demeurant fin
et cultivé, a réellement décidé et imposé quoi que ce soit au cours de son
règne ! Pour en revenir au faux wagon
plombé et à son vrai contenu, ils étaient considérés comme si prioritaires par
les Forces Occultes allemandes qu’elles firent attendre le train du Kronprinz
pendant deux heures dans la gare de Halle.., au profit du précieux
convoi. La base arrière choisie par les
Illuminatis pour assurer leur logistique était la Suède, rôle qu’assuma
l’Allemagne lors de la préparation de la Révolution française de 1789. Les
nouveaux “idiots utiles” de l’histoire furent donc les socio-démocrates
suédois qui se mirent d’emblée au service de Lénine et assurèrent ses finances.
C’est ainsi que l’avaricieux Lènine, en escale à Stockholm, prit le temps
de se rendre auprès du consulat de Russie pour le taxer de quelques milliers de
couronnes ! La prise de pouvoir par Kahal passait par la
déstabilisation généralisée de la Sainte Russie. Elle fut mise en oeuvre par la
Haute Finance américaine en accord avec Kerensky accentuation de l’effort
de guerre, dépréciation du rouble, troubles sociaux, etc. La Maison Blanche
avait passé un gentleman’s agreement avec Kerensky. Elle était informée des
grandes décisions du 1° ministre... au moins six semaines à l’avance !
L’anarchie était telle que les révolutionnaires communiquaient entre eux par la
presse grand public !
La guerre de l’esprit...
des
Scorpions
Guerre de l’esprit du Mal, guerre
de Mages noirs. L’histoire de la prise du pouvoir par les Scorpions doit être en
fait revisitée de A à Z. Tout est truqué, tellement brouillé qu’il est encore
impossible aujourd’hui de reconstituer la vérité historique de cette fameuse
journée du 7novembre 1917 ! Les événements qui se sont succédés du 4 au 8
novembre échappent en tout état de cause à l’historien ou à l’enquêteur
“rationaliste”. Pour s’implanter, Kahal avait
besoin de faux martyrs, d’une fausse résistance héroïque et d’une fausse
légitimité. Kerensky et Lénine fabriquèrent de concert cette fausse triple
couronne à la Révolution. Ainsi, la légende prétend que
5.000 marins décidés à “vaincre ou périr” convergèrent le 7 au matin vers le
Palais d’Hiver de Saint-Pétersbourg. En réalité, quelques gardes
rouges l’arme à la bretelle, se mirent en faction devant le palais et...
attendirent tranquillement, comme tous les acteurs de ce mauvais
opéra. En réalité, le gouvernement
Kerensky ne fonctionnait plus depuis 48 heures mais il fallait, dans l’esprit
des dirigeants communistes et au terme d’un Pacte secret avec le Grand
Architecte du “Novus Ordo”, assumer astrologiquement la prise du pouvoir par les
bolcheviks à un instant soigneusement défini dans la symbolique de cette science
secrète ! Dans l’attente de cette 25e heure, il fallait organiser un simulacre
de putsch... et gagner du temps. De concert donc, les comédiens du
Palais d’Hiver bougèrent les premiers. Les cadets de l’Académie d’artillerie
reçurent l’ordre de quitter.., le Palais. Les cosaques s’éloignèrent
également. Le ballet était parfaitement
interprété ! A Saint-Pétersbourg, la vie
s’écoulait paisiblement : représentations théâtrales, restaurants ouverts.
Tout était calme et banal ! La 25e heure approchant, Trotski fit tirer
une trentaine d’obus depuis la Forteresse Saint-Pierre Saint-Paul ; pendant que
les tramways continuaient à rouler sereinement en contre-bas. Ces obus,
contrairement à la légende, n’étaient pas destinés à atteindre le Palais
d’Hiver rempli de complices et de frères ! Ils se perdirent en réalité sans
dommage dans les champs avoisinants. Aucun obus ne fut tiré du Croiseur
“Aurore”. A 1 heure 30 du matin, les gardes
rouges en faction près du Palais Ouvrirent sur ordre le feu “en l’air”,
prolongeant ainsi cette bataille virtuelle. Puis marins et gardes rouges
rentrèrent par les portes dérobées dans le Palais. On prétend même que certains
gardes rouges ratissant le palais échangèrent... le salut maçonnique avec de
vaillants faux défenseurs. Accompagné de ses gardes rouges,
l’héroïque compagnon de Lénine responsable de l’assaut virtuel du Palais,
Vladimir Antonov Ovscyensko, accéda au Hall Maladine, antichambre de la salle du
Conseil des Ministres, juste avant deux heures. Il attendit les ordres. Malgré
l’heure tardive, le “gouvernement” - déjà déposé - de Kerensky (lui-même “en
fuite” !)... siégeait ! Puis Vladimir ouvrit la porte et
adressa aux ministres rassemblés un ordre énigmatique, susceptible de
plusieurs nivaux d’interprétation : « Messieurs, votre temps est
passé ! » On peut donc admettre que les
bolcheviques prirent le pouvoir à 2 heures 04. Une investigation réalisée à
posteriori révéla qu’à cette minute précise le soleil astrologique se situait
juste au centre du signe du Scorpion ! Puis les Scorpions effacèrent les
traces de leur passage. Afin d’ôter à d’autres la possibilité de se livrer
éventuellement à de semblables pratiques, ils interdirent immédiatement, dès la
prise du pouvoir, l’astrologie..., considérée comme une pratique superstitieuse,
insensée, décadente.., de la bourgeoisie. Le drapeau de Kahal flotta donc,
comme prévu, le 8 novembre sur la ville de Saint-Pétersbourg et dans la foulée
sur Moscou, conquise par les soviets avec l’aide.., de l’armée allemande !
La révolution « russe » avait gagné. Sur les 10 membres du
1er Conseil
Révolutionnaire, 9 étaient d’origine juive, le 10e était russe. Il s’appelait André
Bubnov... le ‘Dupont la Joie” russe chez Kahal, sans
doute ! Mais sans doute ne fera-t-on pas
le tour d’un tel événement.., avant la fin des temps. Ainsi l’éminence la plus
secrète qui aurait orchestré cette période intercalaire entre les deux pouvoirs
révolutionnaires serait un certain Yuri Steklov (Nakhamkis)
32e degré, gendre de
Kerensky, astrologue, il semblerait avoir tissé la trame de cette transition
dans les délais impartis... par le Prince des
Ténèbres ! Pour remercier ses commettants et
leur témoigner sa reconnaissance, l’avaricieux Lénine fit un geste et
adressa au Grand Orient de France les fonds nécessaires... à la rénovation
de son immeuble, rue Cadet ! Afin d’achever le simulacre
révolutionnaire on invita la populace à venir piller le Palais d’Hiver, tout au
moins ce que l’on jugea convenable de lui abandonner! On condamna aussi quelques
“kerenkistes” à la prison. On les élargit du reste rapidement car les
besoins de l’administration soviétique et du quadrillage politique devaient être
assumés par... des frères ! Lénine et Trotski firent semblant de traquer le
social traître Kerensky, mais ce vilain leur échappa, réussit “à bout de force”
sans doute, à rejoindre Mourmansk où il fut accueilli par les Britanniques en
tant que réfugié blanc. Il mourut à New-York en 1970... à la tête d’une énorme
fortune ! Bien entendu, le lecteur aura compris qu’il n’y eut jamais ni
traque, ni poursuite, ni recherche active du sieur Kerensky. Tout avait été
combiné... avec le gouvernement américain... six semaines à l’avance ! Le 7
novembre au matin, c’est une magnifique limousine de l’ambassade américaine qui
vint stationner devant le Palais d’Hiver afin d’embarquer et d’acheminer par les
voies les plus rapides et les plus confortables à Mourmansk le sieur Kerensky.
Arrivé à New-York, ce grand Frère trouva son compte en banque crédité en dollars
et en francs suisses,.. grâce aux bons soins de ses généreux amis, Trotsky et
Lénine, toujours reconnaissants ! C’est ainsi qu’une Mafia de
tarés et de pillards, ayant fait alliance avec le diable peut-être plus
encore pour éviter d’être doublés par des criminels supérieurs à eux que pour
promouvoir son faux messianisme, réussit à prendre le
pouvoir. &nb
72 ans plus tard (durée correspondant à l’angle sacré du
pentagramme !), très exactement le 7 novembre 1989, le diable les abandonna
! Mais dès 1919, par leur entremise, la puissance de la Haute Finance
s’était considérablement renforcée matériellement et spirituellement. Restait un
obstacle théorique à cette suprématie conquise, obstacle que les superstitieux
dirigeants du Nouvel Ordre interprétaient comme une menace potentielle la
famille impériale, à laquelle beaucoup de Russes étaient attachés et qui était
considérée comme sacrée par une large faction du peuple. Il fallait donc abolir
le principe impérial. L’assassinat de la famille
impériale ne saurait être comparé à celui de Louis XVI et
Marie-Antoinette. Les Jacobins illuminés
voulurent à l’époque couper le lien qui unissait la terre au Ciel en
faisant disparaître le lieutenant du Christ au temporel. Cet
assassinat était un sacrifice nécessaire sans lequel ils ne pourraient conquérir
la gentilité, la France d’abord, les royaumes chrétiens
ensuite. Chef temporel d’un empire
schismatique, protecteur d’une religion ayant rompu avec Rome, Nicolas II ne
bénéficiait pas des mêmes prérogatives. Mais il incarnait dignement, par sa
bonté naturelle et un sens aigu de son devoir, la Tradition et l’identité
russes. l’âme russe. Chef spirituel et temporel de la communauté russe, porteur
de ses principes, il était revêtu d’un privilège sacré aux yeux de ses sujets.
Les réformes industrielles et sociales mises en oeuvre par Stolypin et qu’il
avait cautionnées lui avait attaché une partie importante du peuple. Pour toutes
ces raisons, l’exécution de la famille impériale fut décrétée au plus haut
sommet de la Synagogue de Satan. Il s’agit d’un crime métaphysique. Nous allons
voir que ce crime porte clairement l’empreinte de la kabbale juive et qu’il
s’apparente à un sacrifice rituel. Le patriarche Tikhon, apprenant ces
meurtres, proscrivit immédiatement le régime bolchevique et le proclama
l’incarnation de l’anté-christ. Il fut exécuté en
1922 !
C’est sous l’autorité et le
pouvoir du nombre 12 que fut exécuté ce crime Pourquoi 12 ? Jüri Lina pense à la
symbolique des douze tribus d’Israël, de la double étoile de Salomon, des
12 sages de Sion. Pourquoi pas ? Toujours est-il que le commando tchékiste
chargé de l’exécution était composé de 12 hommes, dont le chef Yurovsky, parmi
lesquels le futur ministre hongrois Imre Nagy ! A 2 heures 30 du matin du
17 juillet1918 ces douze assassins tuèrent douze personnes dont le Tsar, la
Tsarine, leurs cinq enfants, le médecin de la famille et les
serviteurs. Ce fut le chef de la Tcheka
d’Ekaterinenbourg, le Schinder, qui sélectionna les 12 exécutants. Le
chimiste Pinkhus Weiner se chargea de dissoudre les corps des victimes dans
l’acide sulfurique. Il porta jusqu’à la fin de sa vie l’anneau de rubis
qu’il avait dérobé sur l’un des corps. Il fut assassiné en 1937 à
Varsovie. On peut s’étonner de la présence
d’un juif hongrois, Imre Nagy, parmi les tueurs. C’est que l’organisation
Tchékiste était noyautée par des unités dites "lettones", en réalité encadrées
par des officiers allemands et composées d’aventuriers d’Europe centrale ! Le
responsable du parti pour l’Oural et la Sibérie était un certain Goloshchokin,
un proche de Sverdlov, lequel, selon les archives soviétiques, aurait détenu
dans son cabinet d’archives la tête du Tsar, conservé dans
l’alcool ! Ekaterinenbourg fut repris par
les Cosaques le 25 juillet 1918. Nicolas Sokolov, ex-expert auprès du procureur
du tribunal d’Omsk, fut chargé de l’enquête. Il découvrit une excavation dotée
d’une fenêtre grillagée à hauteur de la maison Ipatiev où fut perpétué
l’assassinat. Il put localiser des traces de sang et des impacts de balles. Lors
des investigations, un des enquêteurs eut son attention attirée par une
étrange citation de Henri Heine, écrite en allemand, sur un des murs
“Belsa(tzar) ward in selbiger Nacht von seinen Knechten umgebracht “, soit
“Balthazar fut assassiné par ses serviteurs pendant la même nuit”.
L’historien juif Edouard Radzinsky, interrogé à propos de cette citation, ne
sut répondre que : “elle est remarquable !” Heine s’était inspiré de
l’ancien Testament. Il est écrit dans le livre de Daniel “Cette nuit, Balthazar,
le roi des Chaldéens, fut assassiné” (Daniel 5.30). Certains historiens ont tenté de nier que l’on ait trouvé
d’autres allusions et signes kabbalistiques sur le même mur. Il était
impossible d’expliquer certains d’entre eux, ce qui simplifia la tâche du
fameux Edouard Radzinsky.
Quoiqu’il en soit, nous avons la
preuve définitive de l’origine kabbalistique de ce crime. Le texte de Heine
renvoie en effet à l’ancien Testament, au livre de Daniel et notamment à la
malédiction qui précède l’assassinat du roi
Balthazar : “Mene. Mene, Tekel, (perès)
Upharsin” ! soit (Daniel 5:26 -28) 26 - Et voici le sens de cela Mené (compté) - Dieu a compté
ton Règne et y a mis fin. 27 - Tekel (pesé) - Tu as été
pesé dans les balances et trouvé insuffisant. 28 - Perès (divisé). Ton royaume
sera divisé et donné aux Perses. (Notons que 80 ans après cette
malédiction prophétique, l’empire de la “pauvre Russie” est dépecé au profit de
l’Islam sous l’impulsion du fondamentalisme
iranien !) En fin de compte, tous ces signes
furent déchiffrés ou tout au moins interprétés. La Komsomols— kaya Pravda
en donna le sens après la chute du mur de Berlin (1989) : “Le Tsar a été
sacrifié ici par ordre des Forces Secrètes ; que cette proclamation soit connue
de toutes les nations “. On ne peut être plus explicite. Quant à
l’Archimandrite d’Ekaterinenbourg, il déclara à la presse en 1992, après avoir
médité sur ces coïncidences kabbalistiques, qu’il pensait que ce crime
avait été commis par des juifs hassidiques dont le rituel est
identique ! Mais, nous ne sommes pas au bout de nos (demi)
surprises. Car l’ordre d’exécution de la famille tsariste étant, comme toujours,
un ordre issu du Sommet des sommets, il ne pouvait Venir que de New York ! Eh
bien, Jüri Lina nous confirme que, selon les documents extraits des
archives soviétiques, Lénine, même s’il était d’accord, n’eût pas son mot â dire
dans l’histoire ! En effet. contraints d’évacuer rapidement
Ekaterinenbourg, les Soviétiques n’eurent pas le temps de détruire les bandes
d’enregistrement télégraphique. Elles furent découvertes par les troupes de
l’amiral Kolchak... à la porte centrale de la ville. L’enquêteur Sokolov
n’eût pas les moyens de les décrypter. Ce travail fut réalisé ultérieurement à
Paris par un groupe de spécialistes du chiffre. Il en ressortit ceci : le
président du comité central exécutif, Yakov Sverdlov avait expédié un message à
Yurovsky. Il lui faisait savoir qu’il avait informé le banquier Jacob
Schiff, siégeant à New York, de la progression rapide des armées blanches que
Jacob Schiff lui avait donné en conséquence l’ordre de liquider d’urgence le
Tsar et la famille impériale. A noter que... c’est la délégation américaine de
Vologda qui transmit le télégramme à Sverdlov ! Sverdlov chargea donc
Yurovsky d’exécuter l’ordre. Yurovsky s’enquit de savoir si cet ordre
s’appliquait bien à toute la famille impériale ou s’il ne convenait pas de le
limiter au chef de la famille, le Tsar. Sverdlov lui confirma donc que cette
instruction englobait tous les membres de la famille sans restriction. Yurovsky
était directement responsable de l’exécution dudit ordre. Lénine n’eut donc pas à prendre la décision
personnellement. L’historien Radzinsky, voulant couper la relation New York -
Moscou, a tenté d’affirmer que l’ordre venait de
Lénine. Il n’y en a pas de traces dans les archives soviétiques. Quelques années plus tard, le
gouvernement soviétique tenta de récupérer les enregistrements télégraphiques
et, à défaut, de minimiser leur signification. Il traqua spécialement l’expert
Sokolov, l’homme qui en savait trop ! D’autant que Sokolov ne s’était pas arrêté
en si bon chemin. Il mourut donc brutalement (!) sans que l’on sache si
cette mort bizarre était imputable aux soviets ou à la maçonnerie... mais c’est
la même chose. En effet, Sokolov, entraîné par son enquête, était allé aux
Etats-Unis, à la demande de son ami Henry Ford, pour l’assister et témoigner
dans un procès engagé contre le Magnat de l’automobile par la banque Kuhn &
Loeb à propos d’un ouvrage qu’il venait de publier et dont le titre était....
“The international Jew” ! En fin de compte, Sokolov réussit
à faire éditer son ouvrage “Le meurtre de la famille du Tsar”, mais l’éditeur
refusa de publier le chapitre relatif à l’intervention de Jacob Schiff ! Ce
n’est qu’en 1939 que ce fait fût révélé. Il est désormais officialisé grâce
à l’ouverture (partielle) des archives soviétiques Il est remarquable que les
autorités soviétiques, afin d’éviter une véritable onde de choc populaire,
n’osèrent pas révéler l’exécution de la famille tsariste. Ils se limitaient à
celle du Tsar. Prudent, Trotski refusa de jouer le rôle de procureur dans un
éventuel procès public et posthume contre le “tyran” ! Il fit le commentaire
suivant à l’un de ses proches : “L ‘exécution de la famille
impériale était nécessaire, non seulement pour décourager l’ennemi et lui
ôter tout espoir, mais pour traumatiser notre peuple et lui signifier qu’il n’y
avait pas de retour possible “.
Si la Révolution bolchevique se
situe bien dans le prolongement idéologique de celle de 1789, elle s’en éloigne
quelque peu dans la pratique. Jüri Lina qui, rappelons-le, n’est pas catholique,
insiste sur la caractéristique essentielle de la Révolution d’octobre. C’est une
prise de pouvoir cynique, ouverte, brutale par la Synagogue de Satan. Certes, la
Révolution française fut facilitée en sous-main par les intrigues, les complots
et l’influence discrète de l’élite talmudique. Certes,
l’inspiration des grands thèmes révolutionnaires est imputable aux
illuminés de Bavière. Les grandes initiatives, les fractures majeures de
l’Histoire révolutionnaire sont leur fait. Par contre, les acteurs projetés
sur le devant de la scène sont français... et pour cause. Les
jacobins obéissaient à des chefs qui recevaient eux-mêmes l’impulsion des
sociétés secrètes. Les meneurs qui dirigeaient les
sections se recrutaient dans les bas-fonds de la société “. (Mgr Delassus - La
conjuration anti-chrétienne - page 1173).
Le premier ministre du Tsar, Stolypin, était très
conscient des dangers que le messianisme révolutionnaire faisait courir à la
bourgeoisie juive et à la Nation tout entière. Il savait, par la police secrète,
que les fanatiques représentaient moins de 10 % de la communauté juive mais il
savait également que ces révolutionnaires, selon une tactique très au
point, faisaient en sorte de “mouiller” systématiquement leur communauté,
laquelle finissait par vivre dans une terreur intellectuelle larvée ! Les
chiffres de la police secrète se vérifièrent. Moins de 10 ans après
l’assassinat de Stolypin, 500 000 juifs suffirent pour tenir d’une main de
fer les destinées de la Russie et coiffer quasiment tous les postes de son
administration, de ses institutions publiques et privées, et de tous ses centres
de décision. Dès la prise du pouvoir, sans
fard, sans précautions particulières, des gangsters juifs pillent,
rançonnent, saignent la Russie. Pas d’approche intellectuelle, pas de rhétorique
solennelle comme en 1789 ! Pas de vains discours. On s’allie entre pires
criminels pour mettre en pratique le slogan de Lénine “Pillez tout ce qui peut
être pillé”. Le seul problème concret des bolcheviks est de
liquider les troupes de criminels qui, agissant pour leur propre compte,
leur font concurrence ! Ceux-là sont les ennemis du peuple en marche. Les
bolcheviks soumis aux forces obscures entendent que leur Maître leur garde
leur monopole ! Et puis, ne sont-ils pas les mieux organisés ? Grâce à
leurs réseaux bancaires internationaux, habilement tissés par leurs congénères
devenus “ennemis de classe”, les produits de leurs rapines peuvent être
immédiatement transférés et mis en lieu sûr à l’étranger, dans un premier
temps auprès des alliés de leurs deux bases arrières, la Suède et
l’Allemagne. Jüri Lina nous explique donc que
les banquiers internationaux étaient dans l’ensemble extrêmement satisfaits
de la tournure des événements. Les bolcheviques agissaient avec une telle hâte
et une telle violence qu’il semble qu’ils aient craint que leurs pillages et
exactions puissent être suspendus... prématurément ! Ainsi, grâce à des
compromis de vente extorqués sous la menace, biens fonciers et immobiliers
étaient-ils transférés à des “hommes d’affaires” domiciliés à l’étranger. Les
chefs bolcheviques s’y installaient d’office et versaient à l’étranger des
loyers fictifs. Comme la Mafia aujourd’hui ! Trotski accapara donc, sans
en être le propriétaire apparent, le château du prince Yusupov. Le New York
Herald Tribune put ainsi écrire en 1919 : “Il semble que la Révolution
Russe s’apparente à une gigantesque opération financière dont l’objectif
serait uniquement de transférer le maximum de fonds de la Russie vers les
banques européennes et américaines” ! On ne saurait être plus clair !
Quant à la dimension réelle de ce pillage, elle dépasse l’imagination. C’était
comme si l’ensemble des voies de communication était réquisitionné pour
faire sortir de Russie et mettre à l’abri dans des cavernes sûres la fortune des
nouveaux dirigeants. C’est ainsi qu’au cours de l’année 1918, plus de 1200
convois de trains transférèrent vers Berlin. bois, charpentes, laine, lin
etc. Le montant des comptes personnels en Suisse des dirigeants, de haut et
moyen rang, atteignent souvent des sommes astronomiques. Une véritable folie de
l’or et des objets précieux s’était emparée d’eux, conduisant à la destruction
ou à la mutilation de 95 % des sites culturels de la Sainte Russie. Pour bien
signifier que le véritable ennemi des bolcheviques, c’était cette “pauvre
Russie” si chère au cœur de la Sainte Vierge, les chefs bolcheviques utilisèrent
la tactique décrite par Sum Tzu (490 avant Jésus-Christ) dans l’Art de la
Guerre, tactique applicable à l’ennemi : “Tout ce qui est estimable chez l’ennemi doit être
brisé et détruit... Coopérez seulement avec les tarés et les filous. Provoquez
conflits et haines entre les citoyens... Avilissez les traditions de l’ennemi,
balayez son histoire, truffez la société d’espions etc. » A la différence (à nuancer, bien
sûr !) de la dialectique de la Révolution française, plus
"intellectuelle" et "philosophique", ce n’est qu’au terme de cet horrible
western dédié au pillage, au viol et à la destruction barbare, que les gangsters
“messianiques” s’avisèrent de l’impérieuse nécessité, pour “durer” et
étendre au monde entier leur empire, de présenter une victime dorée vis-à-vis de
l’Occident et de faire miroiter aux yeux de l’intelligentsia européenne la cité
radieuse terrestre en cours d’édification. Il ne s’agissait donc nullement
de répondre à un besoin réel de paix civile et de reconstitution de l’Ordre
Naturel en Russie. On sait comment furent réprimées dans le sang les émeutes
populaires, telle celle de Kronstadt, ou les justes revendications des
travailleurs russes. Il ne s’agissait pas non plus d’essayer de se réconcilier
avec les intellectuels du terroir les plus réactifs. A ceux-là, la déportation
ou la mort était promise. Non, il fallait simplement circonvenir, convaincre ou
enthousiasmer le ramassis “d’idiots utiles”, rejetons des écoles de la
République, tentés par cette nouvelle étape de l’humanisme intégral et qui
bêlaient à l’unisson entre New York, Londres et surtout Paris avec les Romain
Roiland, Henri Barbusse, André Gide, Anatole France, Edouard Herriot et, plus
tard, André Malraux, Léon Blum, ainsi que les autres représentants de la Cour
des Miracles de l’odyssée sociale. L’heure de nouvelles manipulations, celles de la
culture, de l’art, des sciences positives, des sciences de l’homme, celles que
l’on entreprend dans le grand laboratoire ou le grand studio de Satan, allait
sonner. Nos illuminés allaient pouvoir expérimenter à grande échelle et à ciel
ouvert, les “connaissances” emmagasinées par leurs ancêtres sur l’homme et la
nature. Les malheurs du monde ne faisaient que commencer. Pendant que tout l’or
de la Russie filait vers les Etats-Unis, transitant par les banques Kuhn-Loeb,
Nya Banken (Suède) Harju Bank (Estonie),acheminé par le port letton de Tallin,
alors que des dizaines de milliers de condamnés aux travaux forcés moururent
dans les mines d’or ex-tsaristes, l’appareil de propagande de la synagogue
de Satan se mettait en place. Le 2° acte de la Révolution prolétarienne allait
pouvoir commencer !!! Y aurait-il d’autres causes, plus
secrètes, liées à l’assassinat de la famille impériale ? Cette famille
n’était-elle pas marquée par le destin ? La Cour impériale, sous l’influence
de l’impératrice, n’était-elle pas devenue une Cour des Miracles où se
côtoyaient magiciens, charlatans, nihilistes, aventuriers de tout poil reliés
tous, de près ou de loin, à l’Antre de Lucifer. Vit-on jamais pareille
accumulation et succession de satanistes, depuis de Langsdorff et Philippe de
Lyon, obscurs escrocs, jusqu’au “docteur” Gérard Encausse, grand maître en
occultisme plus connu sous le pseudonyme de Papus, et son vainqueur final,
Raspoutine... Vainqueur, au terme d’un duel de sorciers, digne des
meilleures annales du Moyen-Âge, dont Papus sortit fou et altéré, mais vivant..,
pour peu de temps. Nicolas II, lui-même, fataliste
et dépressif de nature, souhaitait-il survivre aux événements qu’il avait
traversés ? L’assassinat de son Premier ministre Stolypine lui avait-il ôté tout
espoir ? Il savait tout et avait compris la Ré-volution. La “Revue
Internationale des Sociétés Secrètes” de Mgr Jouin est allée encore plus loin.
Dès 1922, elle affirmait que Nicolas II aurait détenu l’exemplaire original de
certains textes secrets. Voici ce que publia à ce propos Mgr Jouin (RISS -
Juillet 1922.) “Notre épilogue était imprimé
lorsque nous avons reçu la visite d’un général russe, dont nous ne pouvons
donner encore le nom aujourd’hui, qui nous a rapporté le fait suivant
: « Dans une de mes conversations
avec le Tsar, je demandai à Sa Majesté si elle connaissait ce texte. Le Tsar
ouvrit un tiroir de son bureau de travail et me remit en main l’original
lui-même qui avait servi aux traductions russes. Je puis vous assurer que cet
original était bien en français.»” Gageons que Nicolas II en savait
vraiment trop, preuves à l’appui, et que la condamnation de la famille impériale
pourrait être l’aboutissement d’une conjuration et d’un serment pré-naturels
! Mais avant d’aborder le chapitre
des “réalisations” concrètes des scorpions, revenons sur quelques épisodes
célèbres de l’implantation des soviets et sur les métamorphoses mythiques que
les bolcheviks ont su imposer aux opinions
occidentales.
En février 1921, les travailleurs
de Saint-Pétersbourg et les marins de Kronstadt n’en pouvaient plus. Les
travailleurs décidèrent de refuser la présence des gardes rouges dans les
usines. La discipline militaire qui régnait était si dure que la mort les
guettait en permanence. Enfin Trotski, entiché du taylorisme, poussait les
cadences à un point qui aurait laissé pantois Henry Ford ou les dirigeants des
abattoirs de Chicago ! Les troubles s’étendirent de
Saint-Pétersbourg à Moscou. Les choses se corsèrent rapidement lorsque les
manifestants commencèrent à propager des slogans véritablement interdits, tels
“à bas les bolcheviks”, à exiger la démission de Lénine ou la convocation
d’une nouvelle assemblée constituante. La panique saisit les chefs
communistes lorsque les marins de Kronstadt se joignirent aux travailleurs.
Appliquant à la lettre les promesses qui leur avaient été réitérées, ils
décidèrent de nommer leurs propres chefs et de refuser d’obéir aux ordres des
potentats locaux communistes. Le croiseur Petropavlovsk surenchérit, son
équipage exigeant des élections, la liberté de parole et d’organisation
dans les soviets, la libération des prisonniers politiques mencheviks,
l’abolition du commissariat politique et des privilèges du Parti
communiste. Ces revendications étaient
accompagnées d’une demande d’expulsion des juifs des postes-clés, ce climat
d’émeute rendit Trotski furieux. Son premier réflexe fut de recourir aux
gaz et d’acquérir des stocks d’ypérite ! Finalement, l’Armée Rouge livra une
attaque combinée infanterie-aviation le 7 mars 1921. De nombreuses défections et
trahisons ralentirent l’attaque. Il fallut faire appel à la Garde Rouge et au
général Toukhatchevsky pour attaquer la garnison de 16000
marins. Le général Toukhatchevsky
expliqua plus tard qu’il n’avait jamais vu un tel carnage. La Garde Rouge perdit
10 000 hommes en quelques heures. Quelques centaines de rescapés passèrent en
Finlande. Ils furent rétrocédés à Staline en 1945... par la Finlande, et tous
condamnés à mort. Les Scorpions n’oublient jamais !
“IIs reviendront ces dieux que tu
pleures toujours” (G. De Nerval)... Il était temps effectivement de
donner quelques gages à l’Intelligentia française principalement et,
accessoirement, anglo-saxonne. Que serait en effet le monde sans la Rive
Gauche, je vous le demande ! Il fallait donc présenter ce nouveau surhomme
communiste, enfant de notre Grande Révolution, au monde dans
l’attente ! Les deux prestidigitateurs, Lénine et Trotski,
s’attelèrent à la tâche mais sans trop forcer ! La Rive Gauche dut se contenter
de peu. 1er Grand
Slogan : “Nous allons vaincre la Nature. Nous ne lui demanderons pas
l’aumône. Nous lui prendrons ce que nous considérons être notre droit !“
Partant de cette vision destructrice de l’environnement, Lénine décida
d’irriguer les terres fertiles proches de la mer d’Aral et la fit vider.
Aujourd’hui, elle est devenue un lac salé et les terres environnantes sont
empoisonnées. 2e Grand Slogan : « La
construction de l’homme nouveau. » Quelques intellectuels
suffirent pour dominer l’appareil de propagande, notamment la littérature
et surtout le cinéma avec Eisenstein. Sur le plan intérieur, quelques décors
sommaires et le développement de la politique du “Meilleur des Mondes”
suffirent. Dès décembre 1917, Lénine proclama le principe de la liberté sexuelle
et dépénalisa l’homosexualité. Il instaura le “bureau de l’amour libre”. La
sexualité dite de groupe fut propagée. On voit que le principe de la gestion
infantile - et contre-nature - des masses, cher aux socialistes, sont des thèmes
récurrents. L’avortement fut légalisé et le viol devint
commun. Mais le dénouement de cette
expérience mérite d’être médité. Une fois les normes de la moralité
transgressées, la sexualité fut prohibée “La sexualité est l’ennemi de la
Révolution “, Ainsi, une fois la société russe transformée en un troupeau
de bétail, il fallait le laisser périr et le repeupler différemment avec
d’autres esclaves. Avis au peuple français ! Ainsi en Russie, par delà la
destruction de l’Ukraine dont nous dirons quelques mots, d’immenses
transplantations de populations répondant à des finalités difficiles à percevoir
furent menées avec brutalité et cruauté, complétant logiquement les expériences
de “libération” sexuelle, de promotion raciale (ou anti-raciale) ou autres,
secrètement préconisées et organisées par les Scorpions ! Ainsi en fut-il des
populations tartares, arméniennes, grecques criméennes, puis des ethnies
lettones, lithuaniennes etc.
C’est bien à tort que les
historiens, y compris parfois des contre-révolutionnaires, opposent
artificiellement Lénine et Trotski d’une part à Staline de l’autre, attribuant
aux premiers une corruption cosmopolite et au dernier une tendance tsariste et
nationaliste. En réalité, l’homme de confiance
de Staline, Lazard Kaganovitch, secrétaire du Comité Central du Parti dès 1924,
prit sous sa protection la culture judaïque, multipliant ses écoles et ses
institutions. En 1928, près de 200 000 jeunes étaient éduqués en yiddish. Les
publications juives n’étaient pas soumises à la censure. Quant à Staline,
demi-juif, il comprenait le yiddish, fait qui a constitué un des secrets d’Etat
les mieux protégés en URSS. Staline se montra dès le départ un des outils très
obéissant de la Haute Finance Internationale. Ayant séjourné dans des lamaseries
tibétaines et suivi les enseignements secrets des grands Maîtres, il savait
interpréter la signification du Yi-King ou du Yin et du
Yang ! En fait, toujours selon Jüri Lina
cette soi-disant opposition idéologique entre les grands leaders bolcheviks
a une autre origine. En 1924, un conflit avait commencé à se développer entre
les juifs de l’Ouest (Haskala) et ceux de l’Est (Hassidiques). Les Haskalas
soutenaient Trotski, les Hassidiques voulaient s’appuyer sur Staline. Trotski
voulait, par ailleurs, quitter la Russie pour profiter des fruits de ses
pillages ! Staline, moins fortuné, voulait rester en Russie et prendre la tête
de la mafia bolchevique. Ce combat entre les deux factions
devint immédiatement sans merci. Les plus fanatiques, les Hassidiques, ceux qui
avaient fait assassiner la famille impériale, l’emportèrent. Nos Hassidiques ne
l’emportèrent pas pour autant au Paradis. Staline les fit disparaître dans les
grandes purges des années 1936-1939. Zinoviev. par exemple, dût livrer sous la
torture ses numéros de compte bancaire secret. Belakun, le bourreau de la
Hongrie, connut le mème sort, au méme titre que Kamenev, Boukharine, Garrestsky
et autres pillards que jalousait le nouveau Père Ubu ! Afin de camoufler les
objectifs sordides de cette lutte et s’attirer la sympathie (relative) du bon
peuple, Lazard Kaganovitch fit circuler la rumeur de l’anti-sémitisme de
Staline, alors que sur ses quarante-neuf secrétaires, quarante étaient
d’origine juive. Bien sûr, on peut aussi prétendre
que Staline n’était pas libre et que la situation lui échappait. L’hypothèse
n’est du reste pas absurde. Pas plus que Napoléon ou Hitler, Staline n’était
indépendant. Il devait rendre des comptes à un maître invisible.., mais
présent ! Incompétent en matière de gouvernement, Staline devait s’appuyer sur
les Forces obscures dont les représentants n’avaient, eux, pas changé !
D’ailleurs, la réputation d’antisémitisme de Staline s’estompa rapidement.
Dès novembre 1936, le Premier ministre, Molotov (Skryabin) punit de mort toute
manifestation d’anti-sémitisme ! En 1937, dix-sept des vingt-deux
commissaires du gouvernement soviétique étaient juifs. Dans la police, notamment
la police politique, le pourcentage était encore beaucoup plus
élevé !
Lazard Kaganovitch planifia et
organisa la destruction du patrimoine historique et culturel russe. Sioniste
militant, il haïssait les églises. Le christianisme était à ses yeux une
hérésie. Il commença à dynamiter les monastères et les églises de Moscou. Une
étude précise sur cette vague de démolition révéla que ces dynamitages n’étaient
pas effectués au hasard mais correspondaient à un plan fou mais structuré.
Curieusement, enjoignant sur une carte les points figurant les églises
détruites, on obtint une ... Etoile de David ! D’autres églises furent
converties en musée de l’athéisme. Rien de semblable n’arriva aux synagogues.
Puis Kaganovitch s’attaqua méthodiquement à la destruction des forts médiévaux.
Même du temps de Lénine, la destruction d’édifices religieux avait gardé un
caractère anecdotique. Quant aux quelques fonctionnaires bolcheviques qui s
‘attaquèrent à des synagogues, ayant mal interprété les directives sans
doute, ils le regrettèrent amèrement ! Le sommet de cette volonté
destructive fut atteint lorsque Kaganovitch fit dynamiter la magnifique
cathédrale du Saint-Sauveur, en décembre 1931. Construite en souvenir de la
libération de la Russie et de la défaite napoléonienne de 1812, achevée en
1883, richement et lourdement décorée, ayant nécessité des tonnes d’or, d’argent,
de pierres précieuses et dotée d’une centaine d’icônes magnifiques, elle était
le symbole de la Russie impériale et triomphante. Deux travailleurs
allemands refusèrent d’exécuter ce crime. Ils furent fusillés ! Finalement,
ce fut un ingénieur russe qui se chargea de cette besogne qu’il accomplit avec
méthode. En quelques mois, la cathédrale fut pillée puis démontée et
arasée ! Kaganovitch et Staline
envisagèrent, avec l’assistance de l’architecte Yofan d’édifier à sa place le
palais des soviets (Kahal Paletz). L’édifice devait dépasser en hauteur son
rival américain, en voie d’achèvement à l’époque, l’Empire State Building.
Il devait atteindre 415 mètres de haut et être couronné par une statue de Lénine
de 70 mètres. Lénine devait y figurer saluant à la manière des Zélotes, salut
qui avait été repris au Congrès de Bâle de 1897 ! A noter que ce salut était aussi
le même que celui pratiqué par un autre mouvement (national) socialiste dont on
commençait à beaucoup parler à la même époque ! Imagine-t-on les troupes
allemandes (en décembre 1941) entrant à Moscou et défilant sous cette
statue, rendant la pareille... au camarade Lénine !
Sous couvert de liquidation de la
classe des Koulaks, ces fermiers capables et aisés qui avaient tant contribué à
la prospérité agricole de la Russie de Stolypine, au point de menacer le
monopole américain des céréales en cours de constitution à l’époque, Kaganovitch
et Staline, répondant aux “souhaits” de la Haute Finance Internationale,
décidèrent tout simplement la liquidation du village
russe. L’expérience devait, dans un
premier temps, concerner l’Ukraine et le Caucase. En 1934, il fut donc décidé
d’éliminer l’élite des Koulaks, soit 7 millions d’entre eux. Confiscation des
biens, transfert massif de populations, etc. s ‘ensuivront. Il s’agit d’un
véritable crime contre l’humanité. Plus de 20 millions de personnes
moururent en 3 ans. Mais ce génocide “humanitaire” n’intéresse pas la
pensée unique ! Si l’on ajoute que près de
200 millions d’animaux de ferme furent détruits, on peut affirmer que la
Russie a vécu entre 1930 et 1935 la plus extraordinaire catastrophe
humanitaire, écologique et biologique de tous les temps. L’Ukraine,
notamment, fut entourée d’un cordon sanitaire démesuré destiné à étouffer
méthodiquement son énergie. Des scènes de cannibalisme indescriptibles se
déroulèrent pendant des mois sous les yeux impassibles des
Autorités !
Les Scorpions se sont suicidés 72
ans après leur prise de pouvoir. Mais le plan essentiel des “Invisibles”, celui
qu’Albert Pike envisageait déjà contre l’empire russe il y a 130 ans, a-t-il
changé ? Rien n’est moins sûr. La pauvre Russie a été
littéralement vampirisée. D’une part, la Synagogue de
Satan lui a octroyé pendant sept décennies à prix d’or le droit d’utiliser le
Know-how technologique américain de manière à tenir l’Europe militairement sous
sa dépendance. D’autre part, la même Synagogue la réduisait à l’esclavage et à
la misère, de manière à en faire un continent de régression dont les
immenses ressources stratégiques et naturelles étaient placées sous son
contrôle direct. Or la Synagogue de Satan a réussi
à ce jour à éliminer les autorités naturelles et surnaturelles de la Gentilité.
La Russie en pâtit plus que toutes les autres nations ; mais elle fait
peur à la Synagogue, paradoxalement. La guerre du Kossovo était en partie
destinée à lui servir d’avertissement. A voir notre crétin de “Rantanplan”
manœuvrer en Tchétchénie, on ne peut que craindre le pire, à savoir une
Croisade d’ “Ingérence humanitaire” de l’Occident ex-chrétien entraînée par le
boutefeu “Rantanplan” contre la Russie, empire condamné prioritairement à mort
par la Haute Finance Internationale ! Verra-t-on le soi-disant dernier
représentant du gaullisme prendre la tète d’une Croisade “shoahique” de
l’Europe de l’Atlantique à l’Oural débouchant sur une Europe... de l’Oural à
l’Atlantique ! Voilà qui éclairerait d’une lumière pour le moins lugubre
nos brillantes perspectives “européennes”... mais qui paraîtrait bien
conforme à nos merveilleuses “valeurs ... républicaines”, issues des
grands principes des Illuminatis d’Ingoldstadt et de 1789.
Article paru en plusieurs parties dans les
numéros : 84, 85, 86, 87 de Juillet 1999 à Février 2000
SOUS LA
BANNIÈRE
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